3 juin 2009
l'un, le chacun et le tous
Ce que j'aime sans doute le plus chez Amiel c'est sa capacité à sans cesse ré-examiner le fonctionnement autarcique de sa pratique : le diariste du XIXe siècle est un homme qui met des mots sur la chose qui le fait écrire, qui construit le mode d'emploi...